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Big bang ou Accouchement

24 octobre 2009

Big Bang ou Accouchement

Big-bang ou accouchement?

                                                                           PAR  Jacques Tourigny

                                                                           

Depuis mon enfance, je me suis souvent interrogé sur l’origine de l’Univers. Rejetant peu à peu les dogmes religieux, je me suis tourné vers la science afin de trouver des réponses. Cependant, mes lectures m’ont laissé sceptique. Les hypothèses et théories actuelles ne correspondent pas à toutes mes conclusions. Alors que le Big bang a trouvé son origine dans une cellule souche, nous suggérons une reconstitution continuelle de la matière inopérante par le biais de trous noirs: l’accouchement.

Le scénario que nous vous présentons est un exercice de l’esprit voulant décrire le processus d’expansion et d’effondrement de l’Univers. Les points philosophiques de base qui ont inspiré cet énoncé sont :

·        Toute action commence à l’intérieur vers l’extérieur.

·        Rien ne se crée, rien ne se perd, tout est en état de changement (Lavoisier).

·        Tout dans le cosmos recherche l’équilibre.

Cet exercice de l’esprit débute avec l’intérieur du trou noir (TN); il en est la pièce maîtresse, source première de notre système solaire (du système local). La théorie de M. Newton sur la  force gravitationnelle (Fg) représente un élément important de l’Univers. Cependant, nous devions connaître la provenance de cette force. 

Il nous fallait aussi définir tous les éléments composant un TN: sa masse, son dynamisme et ses forces actives: gravitationnelle, centrifuge et inertie.

Ces forces produisirent l’énergie qui, en retour, a formé les champs électriques,  magnétiques et électromagnétiques; elle est la source première de l’énergie physique et quantique. De plus, une interprétation de la matière noire et son apport dans l’énergie des quanta apportera une lumière sur le fonctionnement des champs électromagnétiques et sur la théorie des cordes.

En examinant l’activité de la force produisant les bases fondamentales de l’énergie, et en l’appliquant à la communication globale, nous pourrons avancer des modèles de systèmes politiques et esthétiques qui permettraient aux populations de produire des sociétés plus harmonieuses, basées sur les systèmes fondamentaux de la vie. 

HYPOTHÈSES

Trou noir, particules & vide

Un TN contient des P évoluant dans un vide. P + V = TN. La révolution des P dans un vide est la force première de l’Univers. Le vide isole les P les unes des autres dans un TN. Il a donc une épaisseur où révolutionnent les P tout en gardant  leur authenticité (la masse est composée de P sans espace). 

Le vide fait partie intégrante de toute P. En d’autres mots, il ne peut y avoir de P sans vide, ni de vide sans P. Les corpuscules (C) qui tournent autours des P sont tellement minuscules qu’ils ne dépassent pas l’épaisseur du vide. Ils n’ont donc aucune Fg vis-à-vis les P. Ces P révolutionnent sur elles-mêmes, car elles n’ont aucune restriction et sont dans un vide qui est expansible. Le vide se dilate sous l’interaction de la chaleur qui irradie l’activité des P.

La matière est composée d’atomes formés de P dans un espace. La totalité des P formant un TN devient possible par le vide. Ce dernier agit comme une force de succion sur les autres P et forme une masse homogène.

La Fg

que nous utilisons pour expliquer les forces d’attirance entre masses repose sur l’élasticité propre au vide. Le TN, comme les P, révolutionne asymétriquement dans le vide. 

Corpuscules et champ électromagnétique

Chaque P est unique; cependant, des impacts entre elles produisent des corpuscules (Cp) qui sont des poussières de particules. Les Cp ont une masse et une forme si minuscules qu’ils opèrent à l’intérieur du vide. Dans le vide, les Cp contournent les P, formant une ondulation, en circulant à travers les champs électromagnétiques. Les Cp révolutionnent sur eux-mêmes dans le vide. Leur diversité de formes et grandeurs produit des variations dans le rythme de leur ondulation et un premier pas vers un moyen de communication par des ondes.

L’activité des Cp s’organise en révolutionnant entre et autour des P à leurs rythmes, formant un champ électromagnétique. Les champs électromagnétiques se divisent en deux catégories. La première: des Cp

ayant une structure sphérique homogène, circulant à très haute vitesse dans le champ électromagnétique nommé « radiant », dont les photons. La deuxième: des Cp ayant une structure et un contour hétérogènes, révolutionnant à plus base vitesse et fonctionnant dans le champ électromagnétique nommé « manquant », dont les neutrinos (voir plus bas, chapitre 3 sur les énergies du quanta).

Température

La température d’un TN est à son plus bas niveau au 0 degré absolu (il n’y a plus d’espace). Au 0 absolu, l’épaisseur du vide est à son minimum; la révolution des P est très lente; la pression au centre du nucléus est énorme; les Cp des champs électromagnétiques manquants s’étant introduits jusqu’au centre du nucléus s’agglomèrent dans le vide. Sous la grande pression, ils forment de nouvelles P. De plus, certains Cp s’agrippent aux P accidentées pour finalement les reconstituer en leurs formes originelles.

Les P au 0 degré absolu sont compressées au plus haut point. Leur lente révolution enraye toutes les anomalies dues aux accidents entre elles. Lorsque le noyau du TN se réchauffe, l’espace s’agrandit et les P du noyau sont poussées vers l’extérieur car les P accidentées sont siphonnées vers le centre, de manière à atteindre un équilibre. 

Matière

Nous pouvons définir la matière comme étant un agencement de P en activité ordonnées dans un espace. Lorsque la matière s’approche d’un TN,

la Fg

provenant de l’élasticité du vide propre au TN conduit l’espace présent dans la matière à se contracter. Les Cp du champ électromagnétique radiant peuvent, par leur grande vitesse, rebrousser chemin vers des zones plus actives dans le cosmos. Les atomes les moins actifs se décomposent en P et l’espace se transforme en un vide. Les champs électromagnétiques sont détruits, et les Cp du champ électromagnétique manquant et les P sont propulsés vers le TN à grande vitesse.   

Le Vide

Les P ne se définissent pas sans le vide. Il leur est accroché et les isole. Dans le néant, nous ne pouvons percevoir que du vide, car toutes les P en sont enveloppées. Le vide n’atteint le 0 absolu qu’au centre du TN. Les masses absorbées par la Fg de l’espace à l’extérieur du TN détiennent une plus grande chaleur, même si elles sont toutes accidentées. Une fois absorbées, elles se fraient un chemin jusqu’au centre. De cette manière, les P refaites à neuf au centre sont échangées avec les nouvelles arrivées.

Les P sont dotées d’un mouvement perpétuel. Elles sont dans un vide, donc il n’y a aucune restriction. Cela leur permet de révolutionner sur elles-mêmes en continuité. Le vide étant élastique, il s’étire et se contracte autour des P pour équilibrer leur champ d’action dans leurs mouvements perpétuels. L’élasticité du vide produit l’espace et la Fg nécessaire pour atteindre un équilibre. En révolutionnant sur elles-mêmes, les P transmettent entres elles une vibration les amenant à se côtoyer et à s’unir tout en gardant chacune son authenticité.

Quelle est l’origine de l’Univers?    

L’infini

Nous ne pouvons pas entreprendre une explication de l’origine de l’Univers sans apporter une définition à l’infini. La vie que nous connaissons nous amène à analyser le tout dans le contexte espace/temps. Si nous admettons que l’espace se contracte pour atteindre son minimum, nous pouvons alors admettre que le temps subit le même phénomène. Voir la théorie de la relativité d’Einstein, qui démontre que le temps et l’espace sont inter-reliés. À l’intérieur d’un TN à la température du 0 absolu, l’espace est inexistant car seul le vide existe. Le temps est donc inexistant aussi. Si ces deux assomptions sont vraies, cela nous suggère que nous pouvons comprendre l’infini. Durant la lecture qui suit, vous aller pouvoir toucher aux deux bouts de l’Univers: le commencement et la fin. Le commencement et la fin se rejoignent lorsque la température d’un TN atteint le 0 absolu; c’est à ce moment que le vide a contracté l’espace à son minimum et le temps n’existe plus. Si le temps et l’espace n’existent pas, nous touchons à l’infini. En étudiant la naissance d’un système solaire, nous poursuivrons notre quête vers les forces et le dynamisme présent dans les P, et dans le vide. Ici, nous supposerons d’assister à la naissance du système solaire « groupe local » de notre Galaxie. Par la suite, nous pourrons regarder notre soleil mourir pour redevenir un TN comme à son origine.

« Masse vide dynamique »

La naissance de l’Univers est le produit de l’interaction des forces de la masse, du vide et du dynamisme, le tout prenant naissance à l’intérieur d’un TN.

La masse est composée de P enrobées dans un vide de manière à ce que chaque P garde son authenticité. Le vide agit comme adhésif entre chaque P et produit une force de succion pour attirer les P entre elles. Il est donc la force qui retient les masses ensemble et qui fonctionne comme

la Fg.

 

Le rassemblement des P est, sans contester, la fonction première du vide. Mais le dynamisme propre aux P amène le vide à s’étendre pour faciliter les activités des P en utilisant son élasticité et produire l’espace. Cette fonction d’accommodement au dynamisme des P a pour but d’amener l’équilibre autour de chacune d’entre elles, reconnu comme la Fg. L’élasticité du vide amène des forces contradictoires à travailler vers cet équilibre.

Vu que le vide est aussi espace, il est partout, omniprésent. Sa seule fonction est que la masse atteigne et demeure en équilibre. Son élasticité lui permet de créer l’espace, élément essentiel au dynamisme du cosmos. 

Le rôle du vide enrobant les P :

·        Premièrement, il garde l’authenticité de chaque P leur permettant de révolutionner librement;

·        Deuxièmement, il permet aux P de se côtoyer de manière uniforme, produisant une masse et une matière démontable et transformable lorsque le vide devient espace;

·        Troisièmement, le vide est élastique. À son état naturel, il produit une force d’attirance sur toute masse qu’il entoure ayant comme but principal: apporter l’équilibre;

·        Quatrièmement, l’élasticité du vide lui permet de se transformer en espace. Cette caractéristique en devient la force première, permettant toutes les activités dans le cosmos. 

Regardons ensemble cette transformation! Supposons que les P (masse) n’aient pas de vide autour. Les masses ne pourraient pas s’unir; seule une masse homogène meublerait l’Univers. En d’autres termes, aucune structure ne pourrait voir le jour. Il n’y aurait ni force, ni énergie. Seul le néant existerait.

« Le vide permet à la force et l’énergie de s’unir en puissance commune afin de créer un Univers des plus diversifié ».    

Comment le vide se transforme-t-il en espace?

Comme nous avons vu au début, vide et P sont deux éléments inséparables. Le vide est à l’espace ce que

la P

est à la masse, pour devenir la matière qui englobe l’Univers. L’espace existe par l’activité de P entre elles, retenues dans leurs orbites par la  Fg qui est tout simplement la force de succion que le vide déploie pour les rassembler dans un équilibre.

Pour bien comprendre cette expansion du vide en espace, nous sommes obligés d’entrer dans un TN et de regarder le processus des forces à l’œuvre qui vont, éventuellement, créer l’espace. Car à l’intérieur d’un TN à la température du 0 absolu, l’espace n’existe pas. Les forces premières présentes dans un TN s’activent par le mouvement perpétuel des P qui révolutionnent sur elles-mêmes.   

Trou noir

Avant de commencer à explorer un TN, nous allons essayer de comprendre sa formation. Le fondement d’un TN est toujours existant et tous les soleils dans l’Univers sont des TN en action. Nous pouvons même commencer avec notre soleil. Les forces présentes dans un TN l’ayant surchauffé à des températures exponentielles, elles ont contribué au craquement de son enveloppe pour produire ses planètes, puis se transformer en soleil pour les chauffer. Nous y reviendrons plus tard lorsque nous analyserons le fameux Big-bang. Nous savons aussi que ce soleil va un jour s’éteindre et devenir une géante rouge, puis une naine blanche ou autre pour finalement se refroidir et redevenir un TN.

Phase I

Processus de refroidissement des différents objets célestes comme le soleil: l’implosion

Le refroidissement d’un objet céleste commence lorsque les atomes le composant sont désorganisés, ayant peu d’activité et étant presque incapables de s’unir avec d’autres pour produire du mouvement. Lorsque l’activité ralentit, le vide omniprésent se contracte et l’espace se rétrécit afin de garder l’équilibre. En se contractant, les P se rapprochent les unes des autres, ce qui décompose les molécules et finalement les atomes pour tendre vers un agrégat. La chaleur restante a gardé assez d’espace pour permettre aux Cp des champs électromagnétiques manquants et aux P endommagées de s’introduire jusqu’au centre de l’objet céleste.

L’épaisseur du vide entre les P permet le passage et l’agglomération des Cp pour fabriquer de nouvelles formes. Cette nouvelle fusion des Cp arrive à cause de la perte des champs électromagnétiques manquants qui œuvraient. Ces nouvelles entités seront inévitablement prises au piège au centre et lorsque le nucléus se refroidira pour atteindre le 0 absolu, elles seront compressées en nouvelles P. 

Au 0 absolu, le vide est à son minimum et la pression au centre du nucléus est à son maximum. Les P continuent leur révolution sur elles-mêmes, mais à moindre vitesse, permettant de corriger leurs inégalités. Les nouveaux agrégats de Cp sont compressés au maximum pour former de nouvelles P et leur lente rotation permet d’en corriger les anomalies. Puis, les P finissent par augmenter leur vitesse de révolution et par reprendre finalement leurs croisières naturelles. 

Phase II

L’attraction, la décomposition et l’aspiration des matières environnantes vers le TN

Comme nous avons vu, un objet céleste implose sur lui-même lorsqu’il se refroidit, occasionnant une implosion de l’espace en vide. Cette contraction de l’espace attire toutes les matières environnantes vers lui. Nous sommes en présence d’un TN. La température chutera pour atteindre le 0 absolu. Nous sommes à la fin d’un système -dans notre cas, solaire- et au début d’une ère nouvelle. Cette transformation a pour but de recycler les matières inopérantes.

·        Premièrement, les Cp les plus lents provenant des champs électromagnétiques noirs ou manquants sont recyclés pour former de nouvelles P.

·        Deuxièmement, les P endommagées sont reconditionnées en nouvelles P.

Les P n’arrêtent jamais de révolutionner. Certes, au 0 absolu, elles tournent au ralenti. Toutefois, leur lente révolution leur permet de corriger toutes les anomalies des nouvelles P recyclées venant des  Cp et de corriger les P endommagées.

Pendant ce temps, la matière, toujours à la recherche d’un équilibre, est attirée vers le TN de façon continue et exponentielle. Les matières désorganisées et denses sont celles qui forment le moins de résistance. Les champs électromagnétiques radiants représentés par les photons se dégagent de leur matière et leur grande vitesse leur permet de s’éloigner du TN à la recherche d’activité. La matière restante, ayant peu d’activité, subit l’attraction du vide. Cette  attirance l’amène dans un tourbillon révolutionnaire autour du TN, pour finalement le percuter à très grande vitesse dans un angle circulaire, apportant une poussée rotative faisant augmenter la vitesse rotative du TN.

Les forces à l’œuvre

Récapitulations

Au début, la matière désorganisée se refroidit, puis les champs électromagnétiques manquants (Cp lents, irréguliers et de plus grandes tailles) sont tour à tour recyclés vers le centre du TN. À l’extérieur, l’équilibre espace/temps est bouleversé. Le vide se transforme en une gigantesque succion voulant atteindre l’équilibre. Cette réaction attire les masses environnantes. Les champs électromagnétiques radiants (représenté par les photons) étant plus attirés par l’activité prennent la direction opposée au TN, cela étant possible grâce à leur grande vitesse et en voyageant dans l’espace vide. Le reste de la matière désorganisée perd son espace pour être projetée dans le TN. 

Le TN étant bombardé dans tous les sens, sa rotation se fait de façon asymétrique. Plus le temps avance, plus il prend de la vitesse et plus les différentes forces sont présentes.

Forces/énergie

Il y a trois forces qui tour à tour vont créer l’énergie.

1.     Gravitationnelle, propre au vide entourant les P; elle transforme le vide en espace et l’espace en vide. Elle est gravitationnelle dans le sens où chaque P cherche à avoir une égalité d’espace permettant leurs activités. Donc, le vide tend à réduire l’espace de la plus longue distance entre masse qui entoure les P.

2.     Centrifuge, propre à la vitesse de révolution.

3.     Inertie, propre au dynamisme de la continuité du mouvement.

Force gravitationnelle

Nous avons jusqu’ici compris que la Fg subit les effets du vide. Nous allons essayer de comprendre, plus en détails, sa structure. 

Chaque P est en position parfaite au 0 absolu, puisque chaque P est à distance égale dans un schéma de 360 degrés sphérique. Cependant, lorsque les activités entre P commencent, l’espace varie dans le 360 degrés sphérique. Le vide doit équilibrer le mieux possible l’espace entre P et en maintenant les groupes de P. Ce qu’il ne peut pas équilibrer devient une Fg.

L’autre jour, je marchais vers le haut de la montagne et je me suis arrêté pour évaluer cette Fg. 

Le schéma suivant est composé d’un cercle représentant la terre, avec un rectangle sur le dessus pour représenter les humains et les structures (A). Si nous traçons une trajectoire jusqu’au centre, nous comprenons que nous sommes perpendiculaires au centre. Cet aspect d’érection sur la terre est dû à la force centrifuge, vu que la terre tourne à environ 1 000 milles à l’heure. Cependant, cette érection dynamique repose sur les forces gravitationnelles dû à l’expansion du vide en espace. Sur le dessin ci-dessous, l’objet vertical tout comme l’être humain debout est soutenu à la verticale par un filet élastique en continu dans les 360 degrés sphériques. Lorsque l’on monte une pente, la gravité voudrait que l’on monte le corps en angle égal tout le tour (B). Cependant, la distance reliant la plus grande masse en bleu (___) est plus courte que la distance de la masse la plus faible en rouge (______). Donc, la force centrifuge nous amène à développer plus d’énergie pour maintenir une position verticale par rapport au centre de la terre.   

(A)


Le vide qui enrobe chaque P forme

la Fg

qui amalgame toutes les P en une unité commune formant un TN. Cette force d’attraction reliée au vide est à la base de toutes les forces et énergies qui en découlent dans la formation de l’Univers.

Les P gardent leurs identités en étant enrobées dans un vide. Cette propriété enlève toute résistance, ce qui permet à chacune de révolutionner sur elle-même; il en va de même pour le TN car lui aussi est dans un vide. Le TN se met à révolutionner sur lui-même à grande vitesse. Ce dynamisme amène deux grandes forces à se rallier à la Fg:

·        force centrifuge

·        force d’inertie

Un TN ne se vide jamais complètement. Il est toujours existant. Sa masse change par l’interaction des forces propres au TN. D’un côté, il attire les P de la matière désorganisée et de l’autre côté, les forces présentes du TN produisent les systèmes planétaires du cosmos.

L’interaction des différentes activités à l’intérieur du TN crée l’énergie. Mais avant de regarder les différentes interactions des forces propres au TN, nous allons jeter un coup d’œil sur le travail du vide (gravitation) sur la matière.   

Comment se forme un TN

La matière  attirée vers un TN subit une réaction d’attraction très déstabilisante. La matière qui est le plus apte à être gobée dans un TN est désorganisée, ayant une masse dense et peu d’activité à température planétaire. Il faut se rendre compte que la température du TN n’ayant aucune activité est au 0 absolu. À l’intérieur du TN, la révolution des P transmet une motion à toute la masse amenant le TN à révolutionner sur lui-même, de la même manière que les P. 

L’activité réduite de la matière amène le vide à se contracter, de sorte que la matière devient de moins en moins active en réduisant l’espace entre les P. À ce moment là, les atomes se décomposent et retournent à leur élément primaire: une P.  

Maintenant, regardons le processus d’agglomération des P au TN. Le paragraphe précédant nous expose le processus de démantèlement des atomes. En s’approchant du TN, les atomes se mettent à circuler dans le même sens que ce dernier. Ils se décomposent et les P percutent le TN à grande vitesse dans un angle d’environ 70 degrés. La force de cet impact sur une masse solide dans un vide garde sa même puissance tout le long de sa descente en spirale jusqu’au centre. Le produit de cette force, durant sa descente, accentue la vitesse de rotation du TN.   

Force centrifuge

Le TN révolutionne en spirale de plus en plus vite. Cette vitesse de rotation met en valeur la force centrifuge qui agit directement sur l’ensemble des P du TN. Cette force travaille à l’inverse de

la Fg

à l’intérieur et divise ce TN en deux parties; un nucléus et une enveloppe. Cette séparation est obtenue en divisant la masse de cette sphère en deux parties. La vitesse de rotation nécessaire pour séparer un nucléus est dépendante de la force de succion du vide multiplié par les masses en contact. À ce moment, cette même force centrifuge entraîne la séparation d’un nucléus à l’intérieur du TN. Vu que la force centrifuge augmente plus fortement dans le contour extérieur, cette scission entre le nucleus et l’enveloppe est obtenue à l’endroit où la force centrifuge outrepasse

la Fg.

C’est aussi à ce moment que le temps commence, car le vide vient de produire de l’espace. 

Les forces à l’œuvre à l’intérieur de la masse

Soudainement, tout est bousculé. Les P se mettent à vibrer dans cette coupure intérieure entre l’enveloppe et le nucléus. Le vide se transforme en espace sous l’activité intense des P leur permettant de s’activer de plus en plus. Puis, l’enveloppe s’étire et agrandit l’espace entre ces deux nouvelles entités. Le nucléus commence à ralentir sa course par rapport à l’enveloppe. Ce nouveau changement oblige les P à onduler entre les murs du nucléus et de l’enveloppe en les frappant tour à tour avec force, attirés par

la Fg

de chacun. Cette nouvelle activité à l’origine du système électrique produit une chaleur intense qui augmente l’espace pour donner un équilibre aux activités des P et amplifie la pression existante à l’intérieur du TN. Lorsque les P frappent chacune des masses, une poussière de P est soulevée, tellement infime que les masses ne perçoivent pas

la Fg

de ces Cp car ils sont plus petits que l’épaisseur du vide. Puis, ils se mettent à révolutionner autour des P libres, les amenant à osciller entre les deux grandes entités nucléus et enveloppe, produisant un début de champ électrique. Lorsque les P de ce champ électrique frappent une masse, les Cp se mettent à circuler à la verticale, entre les parois du nucléus et son enveloppe. C’est à ce moment que les champs électromagnétiques se forment.   

Cette nouvelle activité des P et des Cp circulant en sens inverse de l’enveloppe produit l’effet d’un coussinet à bille entre le nucléus et l’enveloppe, permettant au nucléus de réduire sa vitesse. Entre le nucléus et l’enveloppe se forme une chambre d’activité. Toutes ces activités à l’intérieur du TN font augmenter la chaleur. Les forces présentes à l’intérieur produisent l’énergie responsable de la chaleur et de l’expansion de la cette chambre d’activité. La chaleur et la pression permettent à l’enveloppe de s’étirer et de s’amincir. La force d’inertie permet au TN de garder sa vitesse de rotation.

Le Big-bang  (l’accouchement)

La force centrifuge, la chaleur intense et l’amincissement de l’enveloppe ont finalement raison de la coquille. Elle craque, se divise et se détache en grandes pièces qui se mettre à révolutionner sur elles-mêmes, s’entourant d’une partie de toutes les masses en action dans la chambre d’activité, puis sont catapultées dans le cosmos jusqu’à l’endroit précis où

la Fg

du nucleus pourra les garder dans son orbite. Par son échauffement exponentiel, notre TN est devenu un nouveau soleil avec son propre système solaire.  

Toutefois, une grande partie de la masse formant l’enveloppe retourne au nucléus et renforce la Fg.

Le travail des forces gravitationnelles, centrifuges et d’inertie a créé l’énergie et a donné naissance à un nouveau système solaire ou galaxie.   

Ici, nous pouvons conclure que le développement du temps selon Plank s’est produit non pas après le Big-bang ou accouchement, mais plutôt à l’intérieur du TN sous l’effet d’une très grande pression et d’une immense chaleur.   

Position en (B)  équilibre utopique

Position en (B)  équilibre utopique

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23 octobre 2009

Big Bang où Accouchement

Big-bang ou accouchement?

                                                                           PAR  Jacques Tourigny

                                                                           

Depuis mon enfance, je me suis souvent interrogé sur l’origine de l’Univers. Rejetant peu à peu les dogmes religieux, je me suis tourné vers la science afin de trouver des réponses. Cependant, mes lectures m’ont laissé sceptique. Les hypothèses et théories actuelles ne correspondent pas à toutes mes conclusions. Alors que le Big bang a trouvé son origine dans une cellule souche, nous suggérons une reconstitution continuelle de la matière inopérante par le biais de trous noirs: l’accouchement.

Le scénario que nous vous présentons est un exercice de l’esprit voulant décrire le processus d’expansion et d’effondrement de l’Univers. Les points philosophiques de base qui ont inspiré cet énoncé sont :

·        Toute action commence à l’intérieur vers l’extérieur.

·        Rien ne se crée, rien ne se perd, tout est en état de changement (Lavoisier).

·        Tout dans le cosmos recherche l’équilibre.

Cet exercice de l’esprit débute avec l’intérieur du trou noir (TN); il en est la pièce maîtresse, source première de notre système solaire (du système local). La théorie de M. Newton sur la  force gravitationnelle (Fg) représente un élément important de l’Univers. Cependant, nous devions connaître la provenance de cette force. 

Il nous fallait aussi définir tous les éléments composant un TN: sa masse, son dynamisme et ses forces actives: gravitationnelle, centrifuge et inertie.

Ces forces produisirent l’énergie qui, en retour, a formé les champs électriques,  magnétiques et électromagnétiques; elle est la source première de l’énergie physique et quantique. De plus, une interprétation de la matière noire et son apport dans l’énergie des quanta apportera une lumière sur le fonctionnement des champs électromagnétiques et sur la théorie des cordes.

En examinant l’activité de la force produisant les bases fondamentales de l’énergie, et en l’appliquant à la communication globale, nous pourrons avancer des modèles de systèmes politiques et esthétiques qui permettraient aux populations de produire des sociétés plus harmonieuses, basées sur les systèmes fondamentaux de la vie. 

HYPOTHÈSES

Trou noir, particules & vide

Un TN contient des P évoluant dans un vide. P + V = TN. La révolution des P dans un vide est la force première de l’Univers. Le vide isole les P les unes des autres dans un TN. Il a donc une épaisseur où révolutionnent les P tout en gardant  leur authenticité (la masse est composée de P sans espace). 

Le vide fait partie intégrante de toute P. En d’autres mots, il ne peut y avoir de P sans vide, ni de vide sans P. Les corpuscules (C) qui tournent autours des P sont tellement minuscules qu’ils ne dépassent pas l’épaisseur du vide. Ils n’ont donc aucune Fg vis-à-vis les P. Ces P révolutionnent sur elles-mêmes, car elles n’ont aucune restriction et sont dans un vide qui est expansible. Le vide se dilate sous l’interaction de la chaleur qui irradie l’activité des P.

La matière est composée d’atomes formés de P dans un espace. La totalité des P formant un TN devient possible par le vide. Ce dernier agit comme une force de succion sur les autres P et forme une masse homogène.

La Fg

que nous utilisons pour expliquer les forces d’attirance entre masses repose sur l’élasticité propre au vide. Le TN, comme les P, révolutionne asymétriquement dans le vide. 

Corpuscules et champ électromagnétique

Chaque P est unique; cependant, des impacts entre elles produisent des corpuscules (Cp) qui sont des poussières de particules. Les Cp ont une masse et une forme si minuscules qu’ils opèrent à l’intérieur du vide. Dans le vide, les Cp contournent les P, formant une ondulation, en circulant à travers les champs électromagnétiques. Les Cp révolutionnent sur eux-mêmes dans le vide. Leur diversité de formes et grandeurs produit des variations dans le rythme de leur ondulation et un premier pas vers un moyen de communication par des ondes.

L’activité des Cp s’organise en révolutionnant entre et autour des P à leurs rythmes, formant un champ électromagnétique. Les champs électromagnétiques se divisent en deux catégories. La première: des Cp

ayant une structure sphérique homogène, circulant à très haute vitesse dans le champ électromagnétique nommé « radiant », dont les photons. La deuxième: des Cp ayant une structure et un contour hétérogènes, révolutionnant à plus base vitesse et fonctionnant dans le champ électromagnétique nommé « manquant », dont les neutrinos (voir plus bas, chapitre 3 sur les énergies du quanta).

Température

La température d’un TN est à son plus bas niveau au 0 degré absolu (il n’y a plus d’espace). Au 0 absolu, l’épaisseur du vide est à son minimum; la révolution des P est très lente; la pression au centre du nucléus est énorme; les Cp des champs électromagnétiques manquants s’étant introduits jusqu’au centre du nucléus s’agglomèrent dans le vide. Sous la grande pression, ils forment de nouvelles P. De plus, certains Cp s’agrippent aux P accidentées pour finalement les reconstituer en leurs formes originelles.

Les P au 0 degré absolu sont compressées au plus haut point. Leur lente révolution enraye toutes les anomalies dues aux accidents entre elles. Lorsque le noyau du TN se réchauffe, l’espace s’agrandit et les P du noyau sont poussées vers l’extérieur car les P accidentées sont siphonnées vers le centre, de manière à atteindre un équilibre. 

Matière

Nous pouvons définir la matière comme étant un agencement de P en activité ordonnées dans un espace. Lorsque la matière s’approche d’un TN,

la Fg

provenant de l’élasticité du vide propre au TN conduit l’espace présent dans la matière à se contracter. Les Cp du champ électromagnétique radiant peuvent, par leur grande vitesse, rebrousser chemin vers des zones plus actives dans le cosmos. Les atomes les moins actifs se décomposent en P et l’espace se transforme en un vide. Les champs électromagnétiques sont détruits, et les Cp du champ électromagnétique manquant et les P sont propulsés vers le TN à grande vitesse.   

Le Vide

Les P ne se définissent pas sans le vide. Il leur est accroché et les isole. Dans le néant, nous ne pouvons percevoir que du vide, car toutes les P en sont enveloppées. Le vide n’atteint le 0 absolu qu’au centre du TN. Les masses absorbées par la Fg de l’espace à l’extérieur du TN détiennent une plus grande chaleur, même si elles sont toutes accidentées. Une fois absorbées, elles se fraient un chemin jusqu’au centre. De cette manière, les P refaites à neuf au centre sont échangées avec les nouvelles arrivées.

Les P sont dotées d’un mouvement perpétuel. Elles sont dans un vide, donc il n’y a aucune restriction. Cela leur permet de révolutionner sur elles-mêmes en continuité. Le vide étant élastique, il s’étire et se contracte autour des P pour équilibrer leur champ d’action dans leurs mouvements perpétuels. L’élasticité du vide produit l’espace et la Fg nécessaire pour atteindre un équilibre. En révolutionnant sur elles-mêmes, les P transmettent entres elles une vibration les amenant à se côtoyer et à s’unir tout en gardant chacune son authenticité.

Quelle est l’origine de l’Univers?    

L’infini

Nous ne pouvons pas entreprendre une explication de l’origine de l’Univers sans apporter une définition à l’infini. La vie que nous connaissons nous amène à analyser le tout dans le contexte espace/temps. Si nous admettons que l’espace se contracte pour atteindre son minimum, nous pouvons alors admettre que le temps subit le même phénomène. Voir la théorie de la relativité d’Einstein, qui démontre que le temps et l’espace sont inter-reliés. À l’intérieur d’un TN à la température du 0 absolu, l’espace est inexistant car seul le vide existe. Le temps est donc inexistant aussi. Si ces deux assomptions sont vraies, cela nous suggère que nous pouvons comprendre l’infini. Durant la lecture qui suit, vous aller pouvoir toucher aux deux bouts de l’Univers: le commencement et la fin. Le commencement et la fin se rejoignent lorsque la température d’un TN atteint le 0 absolu; c’est à ce moment que le vide a contracté l’espace à son minimum et le temps n’existe plus. Si le temps et l’espace n’existent pas, nous touchons à l’infini. En étudiant la naissance d’un système solaire, nous poursuivrons notre quête vers les forces et le dynamisme présent dans les P, et dans le vide. Ici, nous supposerons d’assister à la naissance du système solaire « groupe local » de notre Galaxie. Par la suite, nous pourrons regarder notre soleil mourir pour redevenir un TN comme à son origine.

« Masse vide dynamique »

La naissance de l’Univers est le produit de l’interaction des forces de la masse, du vide et du dynamisme, le tout prenant naissance à l’intérieur d’un TN.

La masse est composée de P enrobées dans un vide de manière à ce que chaque P garde son authenticité. Le vide agit comme adhésif entre chaque P et produit une force de succion pour attirer les P entre elles. Il est donc la force qui retient les masses ensemble et qui fonctionne comme

la Fg.

 

Le rassemblement des P est, sans contester, la fonction première du vide. Mais le dynamisme propre aux P amène le vide à s’étendre pour faciliter les activités des P en utilisant son élasticité et produire l’espace. Cette fonction d’accommodement au dynamisme des P a pour but d’amener l’équilibre autour de chacune d’entre elles, reconnu comme la Fg. L’élasticité du vide amène des forces contradictoires à travailler vers cet équilibre.

Vu que le vide est aussi espace, il est partout, omniprésent. Sa seule fonction est que la masse atteigne et demeure en équilibre. Son élasticité lui permet de créer l’espace, élément essentiel au dynamisme du cosmos. 

Le rôle du vide enrobant les P :

·        Premièrement, il garde l’authenticité de chaque P leur permettant de révolutionner librement;

·        Deuxièmement, il permet aux P de se côtoyer de manière uniforme, produisant une masse et une matière démontable et transformable lorsque le vide devient espace;

·        Troisièmement, le vide est élastique. À son état naturel, il produit une force d’attirance sur toute masse qu’il entoure ayant comme but principal: apporter l’équilibre;

·        Quatrièmement, l’élasticité du vide lui permet de se transformer en espace. Cette caractéristique en devient la force première, permettant toutes les activités dans le cosmos. 

Regardons ensemble cette transformation! Supposons que les P (masse) n’aient pas de vide autour. Les masses ne pourraient pas s’unir; seule une masse homogène meublerait l’Univers. En d’autres termes, aucune structure ne pourrait voir le jour. Il n’y aurait ni force, ni énergie. Seul le néant existerait.

« Le vide permet à la force et l’énergie de s’unir en puissance commune afin de créer un Univers des plus diversifié ».    

Comment le vide se transforme-t-il en espace?

Comme nous avons vu au début, vide et P sont deux éléments inséparables. Le vide est à l’espace ce que

la P

est à la masse, pour devenir la matière qui englobe l’Univers. L’espace existe par l’activité de P entre elles, retenues dans leurs orbites par la  Fg qui est tout simplement la force de succion que le vide déploie pour les rassembler dans un équilibre.

Pour bien comprendre cette expansion du vide en espace, nous sommes obligés d’entrer dans un TN et de regarder le processus des forces à l’œuvre qui vont, éventuellement, créer l’espace. Car à l’intérieur d’un TN à la température du 0 absolu, l’espace n’existe pas. Les forces premières présentes dans un TN s’activent par le mouvement perpétuel des P qui révolutionnent sur elles-mêmes.   

Trou noir

Avant de commencer à explorer un TN, nous allons essayer de comprendre sa formation. Le fondement d’un TN est toujours existant et tous les soleils dans l’Univers sont des TN en action. Nous pouvons même commencer avec notre soleil. Les forces présentes dans un TN l’ayant surchauffé à des températures exponentielles, elles ont contribué au craquement de son enveloppe pour produire ses planètes, puis se transformer en soleil pour les chauffer. Nous y reviendrons plus tard lorsque nous analyserons le fameux Big-bang. Nous savons aussi que ce soleil va un jour s’éteindre et devenir une géante rouge, puis une naine blanche ou autre pour finalement se refroidir et redevenir un TN.

Phase I

Processus de refroidissement des différents objets célestes comme le soleil: l’implosion

Le refroidissement d’un objet céleste commence lorsque les atomes le composant sont désorganisés, ayant peu d’activité et étant presque incapables de s’unir avec d’autres pour produire du mouvement. Lorsque l’activité ralentit, le vide omniprésent se contracte et l’espace se rétrécit afin de garder l’équilibre. En se contractant, les P se rapprochent les unes des autres, ce qui décompose les molécules et finalement les atomes pour tendre vers un agrégat. La chaleur restante a gardé assez d’espace pour permettre aux Cp des champs électromagnétiques manquants et aux P endommagées de s’introduire jusqu’au centre de l’objet céleste.

L’épaisseur du vide entre les P permet le passage et l’agglomération des Cp pour fabriquer de nouvelles formes. Cette nouvelle fusion des Cp arrive à cause de la perte des champs électromagnétiques manquants qui œuvraient. Ces nouvelles entités seront inévitablement prises au piège au centre et lorsque le nucléus se refroidira pour atteindre le 0 absolu, elles seront compressées en nouvelles P. 

Au 0 absolu, le vide est à son minimum et la pression au centre du nucléus est à son maximum. Les P continuent leur révolution sur elles-mêmes, mais à moindre vitesse, permettant de corriger leurs inégalités. Les nouveaux agrégats de Cp sont compressés au maximum pour former de nouvelles P et leur lente rotation permet d’en corriger les anomalies. Puis, les P finissent par augmenter leur vitesse de révolution et par reprendre finalement leurs croisières naturelles. 

Phase II

L’attraction, la décomposition et l’aspiration des matières environnantes vers le TN

Comme nous avons vu, un objet céleste implose sur lui-même lorsqu’il se refroidit, occasionnant une implosion de l’espace en vide. Cette contraction de l’espace attire toutes les matières environnantes vers lui. Nous sommes en présence d’un TN. La température chutera pour atteindre le 0 absolu. Nous sommes à la fin d’un système -dans notre cas, solaire- et au début d’une ère nouvelle. Cette transformation a pour but de recycler les matières inopérantes.

·        Premièrement, les Cp les plus lents provenant des champs électromagnétiques noirs ou manquants sont recyclés pour former de nouvelles P.

·        Deuxièmement, les P endommagées sont reconditionnées en nouvelles P.

Les P n’arrêtent jamais de révolutionner. Certes, au 0 absolu, elles tournent au ralenti. Toutefois, leur lente révolution leur permet de corriger toutes les anomalies des nouvelles P recyclées venant des  Cp et de corriger les P endommagées.

Pendant ce temps, la matière, toujours à la recherche d’un équilibre, est attirée vers le TN de façon continue et exponentielle. Les matières désorganisées et denses sont celles qui forment le moins de résistance. Les champs électromagnétiques radiants représentés par les photons se dégagent de leur matière et leur grande vitesse leur permet de s’éloigner du TN à la recherche d’activité. La matière restante, ayant peu d’activité, subit l’attraction du vide. Cette  attirance l’amène dans un tourbillon révolutionnaire autour du TN, pour finalement le percuter à très grande vitesse dans un angle circulaire, apportant une poussée rotative faisant augmenter la vitesse rotative du TN.

Les forces à l’œuvre

Récapitulations

Au début, la matière désorganisée se refroidit, puis les champs électromagnétiques manquants (Cp lents, irréguliers et de plus grandes tailles) sont tour à tour recyclés vers le centre du TN. À l’extérieur, l’équilibre espace/temps est bouleversé. Le vide se transforme en une gigantesque succion voulant atteindre l’équilibre. Cette réaction attire les masses environnantes. Les champs électromagnétiques radiants (représenté par les photons) étant plus attirés par l’activité prennent la direction opposée au TN, cela étant possible grâce à leur grande vitesse et en voyageant dans l’espace vide. Le reste de la matière désorganisée perd son espace pour être projetée dans le TN. 

Le TN étant bombardé dans tous les sens, sa rotation se fait de façon asymétrique. Plus le temps avance, plus il prend de la vitesse et plus les différentes forces sont présentes.

Forces/énergie

Il y a trois forces qui tour à tour vont créer l’énergie.

1.     Gravitationnelle, propre au vide entourant les P; elle transforme le vide en espace et l’espace en vide. Elle est gravitationnelle dans le sens où chaque P cherche à avoir une égalité d’espace permettant leurs activités. Donc, le vide tend à réduire l’espace de la plus longue distance entre masse qui entoure les P.

2.     Centrifuge, propre à la vitesse de révolution.

3.     Inertie, propre au dynamisme de la continuité du mouvement.

Force gravitationnelle

Nous avons jusqu’ici compris que la Fg subit les effets du vide. Nous allons essayer de comprendre, plus en détails, sa structure. 

Chaque P est en position parfaite au 0 absolu, puisque chaque P est à distance égale dans un schéma de 360 degrés sphérique. Cependant, lorsque les activités entre P commencent, l’espace varie dans le 360 degrés sphérique. Le vide doit équilibrer le mieux possible l’espace entre P et en maintenant les groupes de P. Ce qu’il ne peut pas équilibrer devient une Fg.

L’autre jour, je marchais vers le haut de la montagne et je me suis arrêté pour évaluer cette Fg. 

Le schéma suivant est composé d’un cercle représentant la terre, avec un rectangle sur le dessus pour représenter les humains et les structures (A). Si nous traçons une trajectoire jusqu’au centre, nous comprenons que nous sommes perpendiculaires au centre. Cet aspect d’érection sur la terre est dû à la force centrifuge, vu que la terre tourne à environ 1 000 milles à l’heure. Cependant, cette érection dynamique repose sur les forces gravitationnelles dû à l’expansion du vide en espace. Sur le dessin ci-dessous, l’objet vertical tout comme l’être humain debout est soutenu à la verticale par un filet élastique en continu dans les 360 degrés sphériques. Lorsque l’on monte une pente, la gravité voudrait que l’on monte le corps en angle égal tout le tour (B). Cependant, la distance reliant la plus grande masse en bleu (___) est plus courte que la distance de la masse la plus faible en rouge (______). Donc, la force centrifuge nous amène à développer plus d’énergie pour maintenir une position verticale par rapport au centre de la terre. 

(A)


Le vide qui enrobe chaque P forme

la Fg

qui amalgame toutes les P en une unité commune formant un TN. Cette force d’attraction reliée au vide est à la base de toutes les forces et énergies qui en découlent dans la formation de l’Univers.

Les P gardent leurs identités en étant enrobées dans un vide. Cette propriété enlève toute résistance, ce qui permet à chacune de révolutionner sur elle-même; il en va de même pour le TN car lui aussi est dans un vide. Le TN se met à révolutionner sur lui-même à grande vitesse. Ce dynamisme amène deux grandes forces à se rallier à la Fg:

·        force centrifuge

·        force d’inertie

Un TN ne se vide jamais complètement. Il est toujours existant. Sa masse change par l’interaction des forces propres au TN. D’un côté, il attire les P de la matière désorganisée et de l’autre côté, les forces présentes du TN produisent les systèmes planétaires du cosmos.

L’interaction des différentes activités à l’intérieur du TN crée l’énergie. Mais avant de regarder les différentes interactions des forces propres au TN, nous allons jeter un coup d’œil sur le travail du vide (gravitation) sur la matière.   

Comment se forme un TN

La matière  attirée vers un TN subit une réaction d’attraction très déstabilisante. La matière qui est le plus apte à être gobée dans un TN est désorganisée, ayant une masse dense et peu d’activité à température planétaire. Il faut se rendre compte que la température du TN n’ayant aucune activité est au 0 absolu. À l’intérieur du TN, la révolution des P transmet une motion à toute la masse amenant le TN à révolutionner sur lui-même, de la même manière que les P. 

L’activité réduite de la matière amène le vide à se contracter, de sorte que la matière devient de moins en moins active en réduisant l’espace entre les P. À ce moment là, les atomes se décomposent et retournent à leur élément primaire: une P.  

Maintenant, regardons le processus d’agglomération des P au TN. Le paragraphe précédant nous expose le processus de démantèlement des atomes. En s’approchant du TN, les atomes se mettent à circuler dans le même sens que ce dernier. Ils se décomposent et les P percutent le TN à grande vitesse dans un angle d’environ 70 degrés. La force de cet impact sur une masse solide dans un vide garde sa même puissance tout le long de sa descente en spirale jusqu’au centre. Le produit de cette force, durant sa descente, accentue la vitesse de rotation du TN.   

Force centrifuge

Le TN révolutionne en spirale de plus en plus vite. Cette vitesse de rotation met en valeur la force centrifuge qui agit directement sur l’ensemble des P du TN. Cette force travaille à l’inverse de

la Fg

à l’intérieur et divise ce TN en deux parties; un nucléus et une enveloppe. Cette séparation est obtenue en divisant la masse de cette sphère en deux parties. La vitesse de rotation nécessaire pour séparer un nucléus est dépendante de la force de succion du vide multiplié par les masses en contact. À ce moment, cette même force centrifuge entraîne la séparation d’un nucléus à l’intérieur du TN. Vu que la force centrifuge augmente plus fortement dans le contour extérieur, cette scission entre le nucleus et l’enveloppe est obtenue à l’endroit où la force centrifuge outrepasse

la Fg.

C’est aussi à ce moment que le temps commence, car le vide vient de produire de l’espace. 

Les forces à l’œuvre à l’intérieur de la masse

Soudainement, tout est bousculé. Les P se mettent à vibrer dans cette coupure intérieure entre l’enveloppe et le nucléus. Le vide se transforme en espace sous l’activité intense des P leur permettant de s’activer de plus en plus. Puis, l’enveloppe s’étire et agrandit l’espace entre ces deux nouvelles entités. Le nucléus commence à ralentir sa course par rapport à l’enveloppe. Ce nouveau changement oblige les P à onduler entre les murs du nucléus et de l’enveloppe en les frappant tour à tour avec force, attirés par

la Fg

de chacun. Cette nouvelle activité à l’origine du système électrique produit une chaleur intense qui augmente l’espace pour donner un équilibre aux activités des P et amplifie la pression existante à l’intérieur du TN. Lorsque les P frappent chacune des masses, une poussière de P est soulevée, tellement infime que les masses ne perçoivent pas

la Fg

de ces Cp car ils sont plus petits que l’épaisseur du vide. Puis, ils se mettent à révolutionner autour des P libres, les amenant à osciller entre les deux grandes entités nucléus et enveloppe, produisant un début de champ électrique. Lorsque les P de ce champ électrique frappent une masse, les Cp se mettent à circuler à la verticale, entre les parois du nucléus et son enveloppe. C’est à ce moment que les champs électromagnétiques se forment.   

Cette nouvelle activité des P et des Cp circulant en sens inverse de l’enveloppe produit l’effet d’un coussinet à bille entre le nucléus et l’enveloppe, permettant au nucléus de réduire sa vitesse. Entre le nucléus et l’enveloppe se forme une chambre d’activité. Toutes ces activités à l’intérieur du TN font augmenter la chaleur. Les forces présentes à l’intérieur produisent l’énergie responsable de la chaleur et de l’expansion de la cette chambre d’activité. La chaleur et la pression permettent à l’enveloppe de s’étirer et de s’amincir. La force d’inertie permet au TN de garder sa vitesse de rotation.

Le Big-bang  (l’accouchement)

La force centrifuge, la chaleur intense et l’amincissement de l’enveloppe ont finalement raison de la coquille. Elle craque, se divise et se détache en grandes pièces qui se mettre à révolutionner sur elles-mêmes, s’entourant d’une partie de toutes les masses en action dans la chambre d’activité, puis sont catapultées dans le cosmos jusqu’à l’endroit précis où

la Fg

du nucleus pourra les garder dans son orbite. Par son échauffement exponentiel, notre TN est devenu un nouveau soleil avec son propre système solaire.  

Toutefois, une grande partie de la masse formant l’enveloppe retourne au nucléus et renforce la Fg.

Le travail des forces gravitationnelles, centrifuges et d’inertie a créé l’énergie et a donné naissance à un nouveau système solaire ou galaxie.   

Ici, nous pouvons conclure que le développement du temps selon Plank s’est produit non pas après le Big-bang ou accouchement, mais plutôt à l’intérieur du TN sous l’effet d’une très grande pression et d’une immense chaleur.   

Position en (B)  équilibre utopique

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Big bang ou Accouchement
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